mikalet64 a écrit :est-ce partout pareil ou il y a des endroits où un vrai amateur peut rouler ?
Rassures toi, ce n'est pas toujours comme ça.
De toute façon, ton premier enduro sera forcément dur.
Tu peux rouler vite, lorsque tu te balades, passer des difficultés imposantes, elles seront toujours plus faciles que celles rencontrées pendant la course.
Le tress, le fait qu'il y ait un classement... :mick et puis, on n'est pas maso (quoi que
), quand tu roules pour toi, tu évites de te mettre en difficulté.
Par ailleurs, les conditions météo jouent beaucoup.
Je me souviens d'un enduro à Latrecey (52), toute la journée, beau temps jusqu'à ce qu'il se mette à pleuvoir vers la fin de mon deuxième tour.
Restait, deux, trois kilomètres, une montée vraiment très chère, un mur d'une trentaine de mètres, qu'on attaquait par un virage à l'équerre sans élan.
La terre dure été bien lissée par le passage des brêles, les racines apparentes, luisaient sous le soleil
. Et soudain, l’orage, l'averse, la douche, le déluge, oh, pas longtemps.
Toujours est-il qu'à même pas cinq mètres du haut, perte d'adhérence, dérapage et planté de guidon dans le sol, pour éviter le redescende sauvage. :quoi:
Le relevé de 560Rotax, fut long et pénible, surtout pour arriver à regrimper dessus et se jeter dans la descente pour une deuxième tentative.
Qui fut un nouvel échec quasi en haut.
Heureusement, des spectateurs m'ont filer la main pour hisser le tank.
Résultat, plus de vingt minutes dans la vue, j'en ai chialé, je crois.. :/
J'avais, quand même marquer des points. Reste toujours un petit regret mais bon, c'est pas grave. Ça restent des bons souvenirs.