Dans mon cas particulier, il s'agit d'une admision par clapets dans bas moteur. Cela étant, je pense qu'il est intéressant de connaître et de comparer tous les cas de figures.
Mais, je vais peut être préciser ma question ; lorsque que tu dis "aire des transferts", ne faut -il pas le comprendre "aire des lumières d'admission" ? Auquel cas, je comprend le rapport 1 avec la lumière d'échappement.
Au départ, je voulais évoquer la taille parfois impressionante des entrées de transferts, comme ce très beau cylindre Peugeot déja vu ici :
Bien souvent, lorsqu'on travaille un cylindre, on cherche à en tirer un maximum de potentiel et l'on agrandi les entrées afin de favoriser la respiration, en se préservant un peu de matière autour afin, bien évidement de ne pas traverser.
Outre la puissance pure, est-ce que ces grosses entrées favorisent aussi le couple au régimes intermédiaires, sachant qu'on augmente l'effet venturi par restriction de surface au niveau des lumières ?
Dans cet esprit, je veux me faire un moteur pêchu pour l'enduro avec de bons régimes intermédiaires capable d'affronter des grimpettes sans faiblir.
Faut-il, peut être ne pas avoir la main trop lourde sur la Dremel au risque de devoir composer avec un moteur devenu pointu (ce serait étonnant mais...)