Riri,je te trouve un peu sévère sur ce coup là.
L'histoire des chronos de 2013 est bien indépendante des organisateurs, et le fait de ne pas tenir compte des temps impartis cette année, d'autres le fond, Issoire cette année au dernier CH par exemple.
Et vaut mieux ça que de devoir rouler comme un taré en liaison avec les risques que celà comportent.
Il y avait un CP, dans la boucle 2, au stand dégustation, mais tu n'y es pas arrivé.
Le parcours était faisable sans trop de difficulté, aucun bouchon, rien de dangereux, juste un peu usant.
Mais bon, on s'en reparlera à Auroux, autour d'un verre :clin:
Je vais enfoncer le clou et casser l'ambiance probablement, (mais un ch'nor est un peu rebelle)
Le prix a payer pour un quinqua sur une taule n'est pas le méme quand on a 20 piges. Pour ma part, je ne rebondis pas sur les cailloux et de moins en moins ....
Tiens... d'un coup je me sens moins seul.... :/ :rolleyes: :clin:
Super_riri16 a écrit :Pour ceux qui trouveraient normal qu'il faut en prendre plein la figure, je rappelais qu'il existe de vrais enduros avec des motos modernes pour lesquelles il est plus simple de trouver des pièces pour les réparer qui sont fait pour cela. :hehe:
Tu résumes pil poil ce que je pense également.... :bise:
Plus de 50 % d'abandon chez les anciennes ? !!! :quoi::quoi:
Peut-être que l'épreuve était mal dimensionnée pour les anciennes non ? A savoir que le règlement du championnat indique que le parcours doit être au tour de 130 km. Et là il y avait une première boucle de 50km ? .... mon œil devait pas être loin de 70 km. ;/
et plus ça va et plus les épreuves se rallongent, alors si sur du sec ça peut encore le faire sous la pluie c'est plus du tout la même histoire.
Et bien sûr il n'y a pas de plan B, c'est de l'impro.
Ça commence par la suppression des temps sur les liaisons, même si je ne m'en plaint pas , ça fait tout de même partie d'un enduro, puis des indications contradictoires qui induisent les pilotes à s'arrêter plus tôt que prévu malgré l'insistance pour demander la confirmation sur la neutralisation de la course. Je ne parle pas des marshals pratiquement inexistants dans les chemins. Les deux seuls que j'ai vu et qui m'ont doublé dans les 10km du début , un des deux n'a pas trouvé mieux que de sauter dans un trou eau pour m'asperger de la tête au pied. Et certains auraient bien apprécié de les voir arriver bloqués au fond d'un trou depuis une heure. C’est un peu léger pour la sécurité. Pas un CP avec pointage carton sur le parcours.
Alors oui on a passé un bon moment , mais même si l'organisation à fait du mieux qu'ils ont pu pour rattraper le massacre qu'a créé cette pluie digne d'un orage tropical de 24h.
De là à applaudir des deux mains faut pas exagérer. Alors je sais bien qu'il ne faut pas avoir trop la dent dure car il n'y a plus beaucoup de club qui souhaitent s'engager pour organiser pour les ancienne et qu'il leur faut beaucoup d'énergie mais je ne serais pas de ceux qui utiliseront la langue de bois pour être politiquement correcte.
Sur la prise des temps déjà il y a deux ans il y avait eu des ratés, et cette année aussi alors il serait bien d'apprendre de ses erreurs. :rolleyes:
Ce n’était pas un enduro pour les enduristes qui veulent faire un bon coup de moto. D'ailleurs la liste des rescapés l'indique bien que seul les enduristes avertis sont arrivés au bout, en tout cas ceux qui n'ont pas cassé ou ceux à qui on pas raconté des histoires.
Pour ceux qui trouveraient normal qu'il faut en prendre plein la figure, je rappelais qu'il existe de vrais enduros avec des motos modernes pour lesquelles il est plus simple de trouver des pièces pour les réparer qui sont fait pour cela. :hehe:
Je ne veux pas donner de leçon sur l'organisation qui reste toujours pour un club une épreuve toujours un peu sur le fil du rasoir, mais dans les conditions qui étaient celles de ce weekend , j'aurais ajouté 45Mn pour les temps de liaison et fait faire que la boucle 1 et 2 aux pilotes point barre et tempi si tous les tracés superbes n'étaient pas tous utilisés. Cela aurait été l'occasion de les reproposer l'année suivante.
Cela aurait permis de n’avoir qu’un seul passage sur le parcours. Chemins vierges pour les premiers ….. Donc les anciennes et praticable pour les suivantes…. Donc les modernes équipés pour. et un briefing général 15 mn avant le départ pour informer sur ces changements.
Et pour la région qu'es que le parcourt est superbe (en tout cas ce que j'en ai vue )
Alors c'est comme un bon gâteau, une belle part pour tout le monde ok , mais pas au point d'en faire une indigestion , car après c'est avoir les yeux plus gros que le ventre.
C'est dommage que cela se soit passé comme cela car pour moi c'était la dernière épreuve du CdF a laquelle je participe cette saison.
Alors es que je reviendrais avec plaisir l'année prochain si le club du limousin remet cela ? ..... ben bien forcement !! parce que tout cela ne sont que des détails mineurs......... mais faudra quand même prendre en compte ces points d'amélioration. Parce que même sur le sec il aurait été un peu long. ;/
Apres pour le reste je vous conterais cela plus tard avec le film
Riri un peu remonté sur ce coup-là
Merci Cécile pour les photos
A+
PS FCHAUV si tu as des photos, ce serait sympa de les poster, j'aimerais les utiliser pour les mettre dans le petit montage d'image que je prépare.
Modifié en dernier par Super_riri16 le 11 août 2015 21:02, modifié 1 fois.
Belle eprouve, c'etait un vrai enduro pour le vrai pilotes, j'y returnerais si occasion, j' espere un peu plus en forme que cette fois et capable de terminer la course!
J'ai bien vue l' effort de l' organizateur pour nous faire decouvrir le meilleurs single track de la region, avec le soleil je crois on parlerait du meilleur percours enduro ancienne 2015, et meme avec la pluie il y avait rien de infaisable, l' organizateurs ont bien reagir en faisant le bon changes sur les speciales, seulement dans mon cas la fatigue a faite caler la concentration et la motivation plus petit bulette de moto et je me suis arreter.
Apres la SP1 entre vapeur, pluie, lunettes et masque c'etait vraiment de l' enduro a l' aveugle, j' ai allumer meme la lumiere de la moto dans l' espoir de voire quelque chose mais rien, etait pire que rouler la nuit.
Apres petit chute dans une descente, moto engorgee, je oublie de re-ouvrir l' essence et pif je me plante au milieux de la prochaine grimpette, je galere et dans la foule de repartir je suive le mauvais signal de deux spectateur et me retrouve sur le ch2, jusq'ai la speciale, je voyais les fleche vertes mais j'ai cru c'etait un changement de percours faite pour le organizateurs pour raccourcir le longue ch1. Bon, evidement la fatigue rende un peut con. Apres un bon roulage je vois Julien et je lui pose la question fatidigue "c’est la première tourre??", je vois aussi la SP2, donq je comprends mon erreur et je returne au depart par la route.
Enfin revitaillement (premiere fois j' ajoute 9 litres!!) et je repart pour le ch2; boisseaux carbu qui conce avec le gas a fond, heureusemente le buton de masse marche bien je revien au camion pour reparer et je repart encore. J' arrive a la speciale SP2 (pour la deuxieme fois!), tres glissante, a part un tout droit dans le virage "de l' arbre" tout ca passe bien, je continue sur le ch2 quand apres le bourbiers, bien fatigue` je rate une fleche (c'etait pas la premiere fois) et je me perds, je me retouve sur la route, je revien sur mes traces mais je trouve pas le percours, je ferme le moteur je tende l' oreil pas de bruit de moto, encore return par la route tres demotiver cette fois.
Apres longues meditation et pause, je vois le temp est ameliore`, pas de pluie, je repart pour le ch3 avec l' idee de faire la SP3 et m' arreter: apres 10 kilometres le boisseau carbu coince encore, cable du gas moite casser et moto qui ratatouille, pas trop envie de rester sans moteur dans un bois (pas trop de commissaire sur le parcours non plus) je repare et je rentre par la route encore une fois, cette fois pour une douche et un peu de relax.
Top moment du weekend la performance musicale des moines de l' abbaye proche a Chateauneuf (qui etait au repas spectacle peut comprendre), je veut bien des photos video de l' evenement, histoire de faire comprendre a ma femme le serioux de l' ambiance ou je vais le dimanche
Modifié en dernier par roberto75015 le 11 août 2015 19:54, modifié 1 fois.
Comme Claude, je n'ai pas trop fait de moto entre Champagnat et St Paul, à part la reco de Saône avec Juju. Je suis content de retrouver ma Barigo qui était en vacances chez Juju depuis 2 mois. après la soirée qui se termine avec la dégustation d'une boisson divine mais fortement alcolisée (merci Riri, ma Cécile s'en rappelle encore ), le lendemain matin est moins gai...
La Barigo fait des siennes pour démarrer, elle doit avoir peur de la pluie...
Finalement, ça roule bien sous la flotte, le but étant de ne pas tomber ( le relevage des 130 kg de la bête consomme un peu d'énergie...) je vous rassure, j'me suis quand même vautrer en liaison et en spécial . donc ce fut pour moi un belle enduro mais quand même bien technique et physique.
Faut faire du sport les gars pour tenir la distance!
Après 2 mois sans moto, c’est bon de s’y remettre, vu que je ne roule quasiment jamais entre 2 courses.
Le TXP a été révisé de fond en comble après les 5 premiers enduros déjà parcourus cette année.
1 piston, un câble d’accélérateur, et un bon nettoyage, la brèle est prête.
430 km depuis la maison, ça va, mais ce qui va moins bien, à partir de 200 km, il pleut, et c’est un gros weekend de départ en vacances avec tous ces touristes qui descendent. A mendonné ras le bol de faire l’accordéon sur l’autoroute, je sors et à moi les petites routes du Limousin. Il pleut.
13h00, me voilà arrivé, je fais un tour au resto du camping, salade locale, canard confit, ça sera toujours ça de pris.
Les potes arrivent, Riri, Dédé, un petit café au sec, puis la Big Ben Family et enfin Julien. Il pleut encore.
On installe le barnum, sort les motos, récupère Albert et on part faire un tour aux spéciales. Riri négocie le repas du soir au resto du camping, pizzas avec un extra douche. Il pleut un peu moins.
La SP1 est magnifique, juste un peu modifiée par rapport à 2013, on va se régaler.
La SP2 est bien variée, prairie, bois, chaume, bois, prairie, ça va être bon.
Retour au camp de base. On rentre les motos au parc. Albert m’annonce, ils ne demandent même pas de démarrer. OK, j’y vais. L’assistant de notre bon Richard me dit qu’il n’a jamais vu de Peugeot d’enduro et me demande si il peut l’entendre. Ok, un peit coup de kick, je n’accélère pas trop, j’ai eu un peu la flemme de refaire le silencieux, elle pète un peu fort. Il pleut.
La soirée se passera sous le barnum, a regarder la pluie tomber, à partager les 5 pizzas, le Riri n’a pris aucun risque, c’est toutes les mêmes. Et bien sûr, ça se finira à la dégustation, le Riri a amené les verres qui vont bien et de quoi les remplir. Il pleut.
La nuit sera bien arrosée, ça n’a pas cessé.
Le matin, le ciel est bas, gris, comme le moral. P….n, après un mois et demi de sécheresse, j’y crois pas. Moi qui me réjouissais de faire un enduro dans la poussière.
Premier départ à 8h30, à 8h35 c’est mon tour. Je pars avec Julien, il trace devant.
La SP1 est située vers le milieu de la boucle 1, ça me laisse 25/30 km pour roder le piston.
J’enroule, je ne tire pas les rapports, le parcours est plaisant, malgré la pluie, les chemins sont bien praticables, ça ne colle pas.
Avant la spéciale, au moins les 50 premiers m’ont déjà doublé, mon seul objectif aujourd’hui, aller au bout. Je m’impose de garder les lunettes malgré la pluie.
SP1, c’est parti, tout doux sur les freins, finalement ça grippe assez bien. Je vois Simon R. arrêté tout en bas, pas bon, je m’applique, laisse passer ceux qui me rattrapent, dans la chaume, c’est mou, je suis obligé de tirer un peu sur le berlingot. Les montées non praticables ont été shuntées, mais il en reste une, et là, juste au pied de cette montée le O’dédé me double, je me serre, et du coup je ne suis pas sur la trajectoire idéale, et tout près du sommet, pas assez de vitesse, le moteur agonise, je descends de la moto, mais de gentils spectateurs, Fabien Ch. et Simon R. me poussent et me tirent pour me sortir de ce mauvais pas. Merci les gars. Je sors de la spéciale et continue tout de suite dans la liaison.
J’aurais dû m’arrêter et respirer un bon coup.
Quelques centaines de mètres après la spéciale, une descente dans le bois, en bas ça tourne à l’équerre, mauvaise estimation, je me vautre. Le gars derrière moi, pareil, dans les buissons. Je relève la moto, retire définitivement les lunettes, je finirai la journée sans.
La liaison est agréable, variée, mais longue, ça n’en finit plus. J’en vois au moins 2 en panne sèche.
CH1, personne, je dois être pas mal à la bourre, je ne regarde même pas l’heure. Il pleut.
Le plein, retendre la chaine, boire manger et c’est reparti.
La boucle 2 est plus courte et on arrive rapidement à la SP2.
Il y a du monde, belle spéciale, la partie bois est en partie pas mal défoncée, ça tape, la chaume est moins « molle » que celle de la SP1, c’est tout bon.
La liaison est moins roulante que le CH1, plus technique, mais rien de trop dur, je me fais plaisir, finalement ça ne glisse pas trop. Le niveau des rivières est inquiétant, et on roule tout près du bord, gaffe. Je prends le temps de m’arrêter au CP, déguster une saucisse d’escargots et quelques tartines de … me souviens plus de quoi, mais c’était bien bon.
CH2, tiens mon Riri est là, il a fait sa boucle 1, ça lui suffit. Je refais le plein, encore une banane, tiens la pluie a cessée temporairement.
On repart sur la boucle 1, et là changement de limonade, après le passage de toutes les motos, les chemins sont pas mal défoncés, les ornières se sont creusées, j’en chie un peu, je n’aime pas les ornières. Il re-pleut.
Arrivé à la SP2, j’apprends qu’elle est annulée, impraticable, et on me propose de soit rentrer par la route, soit la liaison. Je ne me suis pas tapé 430 km de bagnole pour faire de la route, j’enquille la liaison, bien plus plaisante car différente de la boucle 1, donc pas défoncée, c’est tout bon, mais elle est quand même bien longue, je ne vois plus grand monde. Toujours la pluie.
CH3, tout le monde est là, il me reste encore la boucle 4 à faire, courte, 20 mn, pas plus. Je regarde le niveau de carburant, je dis à Big Ben le niveau arrive là, c’est bon ? Et je repars. Fatale erreur.
Au bout de 7/8 minutes, à la sortie d’un bois dans une montée le moteur ratatouille, vite la réserve, et comme un andouille, je ferme l’essence. La sanction ne se fait pas attendre, silence. Il pleut.
Je débranche la durite, met le robinet sur réserve, ça coule bien.
Mais rien, malgré les coups de kicks, aucun son. Plusieurs s’arrêtent mais malgré leur bonne volonté, je les laisse continuer. Et si ce n’était pas l’essence ??
Je reconnais le coin, je sais qu’il y a une cour un peu plus haut, chez un marchand de bestiaux, avec des camions rouges. Je pousse tant bien que mal jusque là, je m’époumone, la boue colle aux bottes, ça glisse, mais j’y arrive. Je reprends mon souffle, m’assoie sur la moto et me laisse glisser dans la pente, le moteur craque au bout de 2 mètres, sauvé !!
J’arrive à la spéciale, et là je me dis que ça serait vraiment « gland » de tomber en panne sèche au fond du bois. Je guette les gars qui sortent de la spéciale, j’avise un Breton sympa en Aprilia, et il me cède 3 verres de mélange, merci mon gars.
Ca me permettra de finir, l’esprit serein. Je suis bien entamé, et je me contente de finir.
CH4, je rends mon carton, il est 16h30, ça fait 8 heures que je suis sur la moto, j’ai mal partout, j’ai les yeux rouges, j’ai bouffé de la terre, mais heureux d’être allé au bout.
Riri n’a fait qu’un tour, faudra augmenter la surface de travail mon Riri, 2 m², ça suffit pas !!
Dédé s’est arrêté au bout de 2 tours, mauvaise interprétation des consignes au CH2 ou 3 je sais plus. Albert a eu des soucis de robinet.
Julien et Big Ben ont bien roulé, bravo les gars.
La douche sera bonne, je prendrai mon temps pour manger et vider une bouteille de Perrier.
Les copains prennent la route vers la maison ou pour certains vers les vacances, et notre fidèle Julien restera jusqu’au bout, jusqu’à la remise des prix, la Squadra a ramené une paire de coupes, bien.
Le retour se passera bien, personne sur la route, à 23h00 j’étais au lit.
Chapeau aux organisateurs qui ont su nous concocter un bel enduro malgré les conditions météo, je reviendrai.
Maintenant, faut nettoyer tout le bardât, départ vendredi matin pour Auroux.
Je ne sais pas si les bottes auront eu le temps de sécher.
Petit CR ( en meme temp j ai pas grand chose a raconter)
2 belles speciales
Une meteo parfaite pour un auvergnat
Une moto neuve
Tout pour passer un bon week end sauf quand la mecanique fait des siennes.
Moteur bloqué au milieu de la speciale 1 (au point le plus bas biensur).
Course fini
parce que tout cela ne sont que des détails mineurs......... mais faudra quand même prendre en compte ces points d'amélioration. Parce que même sur le sec il aurait été un peu long. ;/
