Le carbu était un 24 UB je crois, on a vu des MINARELLI en 30 qui n'avaient pas ce problème! Bon , c'est sur il faut regarder ce qu'il y a dedans...JMO a écrit :Je me souviens très bien de tout ce rituel (y'en a même qui couchaient la moto pour bien la noyer) et je regardais ça avec envie, moi qui n'avait même pas une mob à vitesseSG95 a écrit :Je me souviens a l’époque il y avait deux ‘clans’ celui des BPS et celui des Fantic.
Les Fantic étaient des machines maniable, avec un moteur docile, les BPS tenaient par terre elles étaient faite pour rouler vite, le moteur était un peu plus puissance que le minarelli, mais c’était une plait il démarrait quand il avait le temps pour le faire partir il fallait pipiller jusqu'à ce que l’essence dégueule de la cuve puis fermer l’essence kicker comme un malade poignée a fond , un fois que le moteur émettait un son et prenait des tours on pouvait ouvrir le robinet d’essence et si tu n’avais pas péter la bougie c’était bon tu pouvais partir, le ralenti était pratiquement inexistant, et en dessous de 10000 il n’y avait rien, imaginer le dimanche matin au départ quand les machines avaient passées la nuit en parc fermé, les Fantic du 1er coup de kick étaient parties, nous nous poussions encore nos BPS un quart heure après. Mais ca roule fort pour des 50cc, on les entendait de loin les abeilles, quand nous arrivions sur les spéciales tout le monde étaient là a nous attendre pour voir les «tasses » et très souvent le soir les pilotes des autres catégories venaient voir ces petites abeilles qui avaient osé les doubler dans les chemins, cela restait bon enfants et reste des super souvenirs
C'est vrai que les Fantic avec le "petit" Dell'orto de 20 démarraient du premier coup, mais question puissance et partie cycle, y'avait pas photo. Question prix non plus !!!
Marrant, Gagni n'avait aucun problème pour démarrer avec la version usine
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