Les enduros mythiques en France
Modérateur : THIERRY
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Il avait du caractére le Joel lui aussi!!!!
Il faut que je scanne des photos des Six days de Mende ou j'avais fait l'assistance du Team Fantic France et du trophée français avec Joel et la famille Cadoret, des personnes d'une gentillesse extraordinaire.
Les 6 jours a Mende en 1980, ça c'est mythiques
A Bientôt
Il faut que je scanne des photos des Six days de Mende ou j'avais fait l'assistance du Team Fantic France et du trophée français avec Joel et la famille Cadoret, des personnes d'une gentillesse extraordinaire.
Les 6 jours a Mende en 1980, ça c'est mythiques
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Modifié en dernier par cador le 20 janv. 2010 22:40, modifié 1 fois.
Mik 26 TM 80 et autres
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Joel Limousin, dans lequel je faisait partie de son team, et qui fut le Coatch de Yann Cadoret entre autre et qui connaissait tous les pilotes italiens nous disait que l'enduro était un sport de C.....pratiqué par des caractéres de Cochon
Il n'avait pas tord, il suffit de se rappeler les pilotes des années 70-80, je ne donnerais pas de noms!!!!!!!!!!!!!
Il n'avait pas tord, il suffit de se rappeler les pilotes des années 70-80, je ne donnerais pas de noms!!!!!!!!!!!!!
Mik 26 TM 80 et autres
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Effectivement fallait retirer la chaine !
En fait juste l'attache rapide, la chaine restait sur le pignon, et avec un sandow ...
Parmi les vraiment motivés, j'ai croisé un couple ( un très jeune couple...), lui emportait le plus gros ( tente et bordel pour le W.E....), par la route avec sa machine de course et elle le suivait moitié train, moitié route avec un cyclo, et sur place ravitaillait !
Tient faudrait proposer ça à Maman en 2010 !
En fait juste l'attache rapide, la chaine restait sur le pignon, et avec un sandow ...
Parmi les vraiment motivés, j'ai croisé un couple ( un très jeune couple...), lui emportait le plus gros ( tente et bordel pour le W.E....), par la route avec sa machine de course et elle le suivait moitié train, moitié route avec un cyclo, et sur place ravitaillait !
Tient faudrait proposer ça à Maman en 2010 !
- THIERRY
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C'est beau la motivation!!fmace a écrit :A propos du confort matériel, des camping-car à 50000 € , etc..
1 er enduro de ma vie. Privas 1981. J'avais 17 ans. La course se courrait en une journée (heureusement).
Le samedi après-midi mon père me dépose avec deux bidons d'essence, un sandwich et une tente. Il viendra me chercher le dimanche en toute fin d'après midi. Je ne connaissais personne et encore moins comment se courrait un enduro. Dimanche matin, après une nuit blanche, je fait le plein du Fantic et termine mon tour sans ravitailler. Coup de chance monstrueux. Je n'imagine même pas la galère, à l'époque où les téléphones portables n'existaient pas, si j'étais tombé en rade avec personne pour me faire l'assistance au milieu de la pampa ardéchoise
A propos de cette course je cherche les classements de cet enduro en 1981 et 1982. Si une bonne âme a ça qui traine ...
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A propos du confort matériel, des camping-car à 50000 € , etc..
1 er enduro de ma vie. Privas 1981. J'avais 17 ans. La course se courrait en une journée (heureusement).
Le samedi après-midi mon père me dépose avec deux bidons d'essence, un sandwich et une tente. Il viendra me chercher le dimanche en toute fin d'après midi. Je ne connaissais personne et encore moins comment se courrait un enduro. Dimanche matin, après une nuit blanche, je fait le plein du Fantic et termine mon tour sans ravitailler. Coup de chance monstrueux. Je n'imagine même pas la galère, à l'époque où les téléphones portables n'existaient pas, si j'étais tombé en rade avec personne pour me faire l'assistance au milieu de la pampa ardéchoise
A propos de cette course je cherche les classements de cet enduro en 1981 et 1982. Si une bonne âme a ça qui traine ...
1 er enduro de ma vie. Privas 1981. J'avais 17 ans. La course se courrait en une journée (heureusement).
Le samedi après-midi mon père me dépose avec deux bidons d'essence, un sandwich et une tente. Il viendra me chercher le dimanche en toute fin d'après midi. Je ne connaissais personne et encore moins comment se courrait un enduro. Dimanche matin, après une nuit blanche, je fait le plein du Fantic et termine mon tour sans ravitailler. Coup de chance monstrueux. Je n'imagine même pas la galère, à l'époque où les téléphones portables n'existaient pas, si j'étais tombé en rade avec personne pour me faire l'assistance au milieu de la pampa ardéchoise
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